voila, peut être que ce soir je n'ai personne a qui parler ou tous simplement un ptit coup de déprime,... je profite d'un moment de plume féconde pour laisser quelques mots.
sur base du message de clair obscur, j'ai beaucoup réflechit aux choix a faire. Et ce pour toutes choses en fait.
Je pense que tous les photographes qui exposent ici, on eu ce dilème du choix de leur travail. De meme que les modèles qui acceptent de laisser leur image au bon vouloir des photographes.
j'ai une douleureuse impression que la vie, l'expérience a proprement dite dans tel ou tel situation n'est qu'une lente évolution de construction et de déstruction. Au fil des photos prises, j'ai un but a l'instant. Définir un style, matérialiser l'image que j'ai en tête au travers d'un modèle, d'un décors, d'un éclairage. mais le douleureux constat une fois le tirage sec, me ramene à me remettre en question. est ce que l'instant de la prise de vue à été bénéfique pour mon propre développement ? ou alors est ce que toutes sortes d'idées parasites me fait m'éloigner de mon propre style.
Est ce que chaque seconde passée à photographier m'élève ou me détruit. Je prend toujours beaucoup de plaisir a retracer l'historique des grands photographes. Et je constate que le hazars à finalement façonné ces personnages pour donner au final quelques choses d'unique.
Alors, sans penser au autres, au oubliés, je me demande si ce que je fais sera reconnu comme tel dans quelques années.
mon explications n'est pas clair, car je ne me l'explique pas moi même. mais j'ai sentit le besoin de certain à "mettre" en garde les modèles qui posent a tous vent. Je ne cherche pas à critiquer qui que ce soit, car je ne fait peut etre pas mieux. Mais je pense que ces bonnes paroles peuvent nous amener à ces phases de construction, qui justement épure notre style.
Enfin voila, soulagé je pense....