la lumière sur les mains, je suis pour (surtout si c'est volontaire).
Précisemment parce que ça crée un double point d'attraction, une image gestalt dans laquelle c'est uniquement le regard de l'observateur qui décide ce qu'il faut / veut regarder.
Une image d'art n'est (heureusement) pas une publicité, où il faut guider le regard vers le seul et unique point sur lequel l'annonceur veut attirer l'attention. Je considère le lecteur d'une photo comme majeur, et responsable du chemin visuel de son propre regard, de la même façon que l'auteur d'un roman - ou d'une poésie - peut écrire des expressions à double sens, ce qui est d'ailleurs un recours littéraire fort intéressant.
pik