De par mon métier, j'ai parfois tendance à ne plus voir la détresse avec autant d'impact qu'elle peut avoir chez d'autres, moins habitués à fréquenter la misère.
Aussi, même si je comprends tes difficultés de cadrage, la retenue et la gêne toute légitime que tu auras eues à déclencher, je trouve un peu comme l'expliquait Joël que tu as un peu manqué le sujet.
J'ai souvent eu envie de faire ce genre de reportage, mais je n'ai jamais franchi le pas, parce que lorsque je réfléchissais à la mise en oeuvre du projet, la gêne que j'allais ressentir m'en empêchait.
Voilà, je ne dis pas que tes photos sont mauvaises, loin de là, mais simplement que chez moi en tout cas, elle ne prennent pas écho.
Amicalement,
Yan