Personnellement je vais tenir un autre discourt mais je me doute que cela ne vous étonnera pas.
Je ne répondrai pas à Luana dont le comportement traduit depuis quelque temps une nervosité exacerbée.
Je vais même aller jusqu’à lui donner raison sur un point, c’est effectivement très amateur !
Mais amateur ne le sommes nous pas tous ? N’avons-nous pas un jour commencé par faire joujou avec des images et des montages très très kitch ? Moi, OUI !! j’ai souvenance de quelques montages du même acabit de ma production, c’était effectivement très mauvais mais cela m’a amusé, puis passionné, alors je me suis mis à étudier les règles , à prendre conseil, j’ai aussi évolué sur le matériel employé. Un talent, une passion, un art cela s’exerce !
Ce n’est pas pour rien que de tous temps les grands maîtres on été appelés ainsi et qu’ils ont transmis leurs connaissances à leurs élèves.
En regardant de plus près « l’image » que nous soumet notre compère, j’y vois des signes évidents de recherche artistique, il a mis en scène son modèle, il lui a demandé de sauter en pivotant sur elle-même en cherchant du regard l’objectif, etc. etc. …
Ce n’est certes pas une réussite et le montage qui je suppose est censé nous faire tourbillonner avec la belle n’est pas du meilleur gout. Mais tout n’est pas à jeter, cette image démontre la différence entre une photographie qui se veut artistique et un <Snap-Shoot>.
Peut être serait il judicieux au lieu de l’accabler de donner à notre ami quelques conseils élémentaires ;
- Cherches la lumière, sans elle tu ne peux rien ! Cela peut être fait en ajoutant de la lumière, en changeant le sujet de place, ...peut importe du moment que la lumière soit là ! Ne mélange pas des sources lumières différentes.
- Que la lumière soit faible ou forte, fais en sorte qu’elle soit adaptée au récepteur (capteur, film) que tu utilises, c’est ce que l’on nomme la sensibilité et elle se mesure en ISO, plus l’indice ISO est faible et plus tu a besoin de lumière pour « imprimer » ton support et inversement.
-En fonction de la quantité de lumière dont tu disposes, tu peux établir un rapport entre la vitesse d’obturation de ton boitier et l’ouverture du diaphragme. Plus de vitesse = moins de flou de bougé donc plus de netteté. Exerces toi à trouver les bons rapports. Tu peux aussi utiliser dans un premier temps le mode décalage de programme qui existe sur pratiquement tous les boîtiers, il détermine grâce à un algorithme interne un rapport vitesse/ouverture adéquat à la situation. Teste le et étudies les possibilités énoncées ainsi que les résultats obtenus tu en apprendras déjà beaucoup !
Dans tous les cas, ne renonce JAMAIS tant que cela te donne du plaisir…